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Parcoursup : CPGE Histoire des arts

Une question à l’heure des choix sur Parcoursup : Hypokhâgne histoire des arts, pourquoi choisir Léon Blum ?

Parce qu’on peut y être accueilli quel que soit son parcours
Les enseignements ont été conçus pour que les étudiants n’ayant pas suivi la spécialité histoire des arts en lycée bénéficient d’un suivi particulier. Le programme d’hypokhâgne commence par un panorama des grandes disciplines artistiques et des méthodes d’analyses. C’est donc une excellente occasion pour commencer l’histoire des arts et bénéficier d’une immersion progressive mais intense dans la discipline.

Parce qu’on n’y travaille pas (seulement) beaucoup, on y travaille passionnément !
Voici la clef de la réussite en CPGE histoire des arts. Oui, il faut lire des ouvrages. Oui, il faut connaïtre des œuvres. Mais davantage qu’une « masse de travail » à affronter, nous souhaitons que nos étudiants vivent cela comme une passion, comme un défi et comme une aventure. On ne réussit pas en histoire des arts parce qu’on travaille beaucoup, mais parce qu’on sait donner un sens à son travail. Et si le travail prend un sens, on travaille bien, en fournissant des efforts sans s’épuiser, car le plaisir de la découverte finit par l’emporter. Et l’histoire des arts a tout pour permettre cela : peinture, sculpture, architecture, amis aussi musiques, arts de la scène, du textile sont mobilisés, replacés dans leur contexte historique et approchés à la fois d’un point de vue théorique et de manière à prendre en compte leurs aspects matériels. A Blum, vous pouvez donc aborder sereinement la classe préparatoire en histoire des arts.

Parce qu’on y réussit !
Depuis plusieurs années, nos étudiants ont obtenu une part significative des meilleures notes attribuées par les jurys des écoles normales et de l’Ecole du Louvre. En 2020, par exemple, sur les huit meilleures notes données par les jurys, trois ont été obtenues par nos étudiants, ce qui la classe parmi les formations les plus performantes pour réussir dans ces filières. En 2019, deux de nos étudiants ont obtenu la note la plus haute donnée par le jury. Nous comptons, depuis l’ouverture de la spécialité histoire des arts en 2012, un nombre important d’étudiants ayant brillamment poursuivi leurs études dans les écoles normales de Paris et Lyon, à l’école du Louvre, dans les universités au sein de master sélectifs. Certains de nos anciens sont désormais devenus professeurs agrégés, chercheurs en histoire de l’art, mais aussi journalistes de télévision ou DJ !

Parce qu’on est accompagné dans sa réussite
La mise en œuvre du programme d’histoire des arts a été pensée, en hypokhâgne, pour travailler dès la première année, les éléments de vocabulaire et de méthode qui seront utiles pour affronter, deux ans plus tard, des concours exigeants de manière sereine et efficace. Les étudiants disposent d’un espace de travail avec une bibliothèque comportant les ouvrages utiles à la discipline et bénéficient du cadre d’un lycée dans lequel l’histoire des arts est enseignée depuis la seconde, et qui dispose donc de ressources importantes et d’une tradition de partenariats avec des grands établissements culturels.

Parce qu’on peut s’inscrire, en parallèle, dans l’université de son choix, à Paris ou en ïle de France en histoire de l’art ou dans toute discipline enseignée en CPGE.
Le lycée Léon Blum a passé des accords de partenariat en histoire de l’art avec deux universités en histoire de l’art : l’Université Paris-Sorbonne (anciennement Paris IV Sorbonne) et l’Université Paris X Nanterre. Dès l’hypokhâgne, l’optionnaire d’histoire des arts est donc, s’il le souhaite et en parallèle de son cursus en classe préparatoire, inscrit dans une de ces deux universités. Suivant la qualité et l’assiduité de son travail, le conseil de classe d’hypokhâgne lui attribue des ECTS qui sont ensuite validées par l’université.
On peut également être optionnaire d’histoire des arts en hypokhâgne à Léon Blum et s’inscrire à l’université en Lettres, en Histoire, en Philosophie, en Langues et y obtenir une équivalence, car l’histoire des arts est aussi une discipline qu’on peut choisir par goût et pour bénéficier d’une culture générale qui pourra faire la différence avec les autres étudiants lors de l’examen des dossiers pour les filières universitaires sélectives ou les concours.

Parce qu’on sort et qu’on en revient enrichis !
De nombreux enseignements ont lieu « hors les murs », devant les œuvres, dans les musées. Des rencontres sont organisées avec des professionnels de la culture, comme des conservateurs, des régisseurs, des galeristes, des artistes, notamment photographes. En temps de crise sanitaire, un cycle de visioconférences permet aux grands auteurs d’histoire de l’art de présenter leurs ouvrages et de dialoguer avec nos étudiants (voir les billets de blog dédiés). Chaque année un voyage d’étude est prévu en fonction des thématiques aux programmes, ce qui nous a permis, déjà, d’être accueillis dans des lieux prestigieux comme la Villa Médicis ou le Palais Farnèse à Rome, ou encore de pratiquer la photographie en noir et blanc dans les ruines de Pompéi ou de Paestum, suivies d’un travail avec le photographe Ferrante Ferranti, par exemple.

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